NOS COMMUNIQUÉS
Municipales 2026 : nous sommes prêt.e.s !
S’il y a bien une source d’espoir qui se dégage tant bien que mal de ce paysage politique en état de décomposition avancée, c’est sans doute le vent de fraicheur suscité par le renouvèlement du personnel politique et porté par des citoyens bien décidés à faire entendre des voix nouvelles dans l’arène politique. Ce mouvement ainsi que l’engouement qu’il suscite ne cessent de se confirmer élection après élection.
Demain vous appartient
La Seine-Saint-Denis est une terre de talents qui élève des enfants fous de rêves, les yeux gros comme le monde. Fort de cet optimisme, nous, actrices et acteurs engagés, souhaitons prendre part au débat public. Fondée en septembre dernier, La Seine-Saint-Denis au Cœur est un mouvement citoyen au plus près du terrain et qui place les habitantes et les habitants de notre territoire au centre des préoccupations et des débats politiques. Face à la montée des inégalités et des discours pessimistes, nous, associatifs, entrepreneurs, travailleurs, ouvriers, retraités, tous engagés, avons ressenti l’envie de faire entendre une voix différente.
Nous, « enfants des ténèbres » au pays des Lumières
C’est avec un dépit et une rage immenses que nous assistons, impuissants, à la disparition d’un peuple tout entier. À son épuration progressive et méthodique accomplie depuis 1948.
Prendre pour point de départ de ce conflit les massacres répugnants du 7 octobre 2023, c’est assurément feindre l’ignorance, car le monde entier est témoin de la lente agonie du peuple palestinien, qui survit tant bien que mal par une force et un courage que toutes les nations louent et reconnaissent. Endurer l’apartheid, le mépris constant, les sévices, les bombardements incessants, sans qu’aucune remédiation ne soit possible ; voir ses dirigeants historiques incarcérés, ses manifestations pacifiques réprimées et les appels à la solidarité de la communauté internationale sans cesse déniés.
Stop le Sénat, place à une nouvelle version de la démocratie !
Ce dimanche 24 septembre auront lieu les élections sénatoriales, auxquelles seuls ceux que l’on appelle les « grands électeurs » seront conviés. L’on juge cette affaire si sérieuse, ses enjeux si importants que l’on juge bon d’en tenir éloigné la grande masse des citoyennes et des citoyens.
Qu’on se le dise, le Sénat, institution structurellement conservatrice qui n’a nulle autre fonction que d’empêcher toute tentative de subversion de l’ordre établi (et les chances sont maigres), menée par l’Assemblée élue par le peuple, incarne au plus haut point les travers d’un système démocratique dévoyé, organisé au service de quelques-uns.